Molière l’Opéra Urbain, Lonepsi – Je m’appelle Jean-Baptiste Paroles
Tu finiras par tomber…
À vouloir briller d’orgueil et de vanité
Tu finiras par tomber..
Je m’appelle Jean-Baptiste, Jean-Baptiste Poquelin
Tapissier ou artiste, aujourd’hui se joue mon destin
se même destin qui m’a pris, ma mère que j’aimais tant
si le bonheur a un prix je l’ai ? il y a longtemps
Mon enfance fût solitaire et la souffrance était ma seule amie
Jusqu’au jour où mon grand-père m’a ouvert les yeux à la vie
Il m’a emmené traîné dans les rues de Paris
Où j’ai réappris à aimer et puis à rire de la vie
Tu finiras par tomber (tomber), tomber (tomber), tomber
À vouloir briller d’orgueil et de vanité
Tu finiras par tomber (tomber), tomber (tomber), tomber
Mon grand-père m’a initié aux gens vrais, rustres et bourrus
A la comedia del arte et au spectacle de rue
Dans les théâtres j’ai découvert les prémisses de ma passion
Le décor et son envers sont devenus mon obsession
Mais mon père a tout réglé il ne me laissera pas le choix
du roi je serai tapissier, quel honneur pour un bourgeois
Mais moi je ne veux pas de se brillante avenir
Je vais avoir le choix de ce que je veux devenir
Tu finiras par tomber (tomber), tomber (tomber), tomber
À vouloir briller d’orgueil et de vanité
Tu finiras par tomber (tomber), tomber (tomber), tomber
Du haut des sommets
tomber, tomber, tomber
Et puis il y a Madelaine, la plus belle des comédiennes
Elle m’a tendu la main, elle m’a montré le chemin
Avec elle je veux grandir, avec elle je veux construire
Je veux être son avenir, mais je ne sais comment lui dire
Je m’appelle Jean-Baptiste, Jean-Baptiste Poquelin
J’ai choisi mon destin
Je serai comédien